Une ville étouffée, le gouvernement veut repenser l’urbanisation de Kinshasa
Dido Nsapu, Digital Congo, le 20/01/2020
"La capitale congolaise ploie sous le poids de ses 15 millions d’habitants pour une ville qui n’en connaissait que 400.000 au lendemain de l’indépendance. Trois ministres congolais se retrouvent à Dakar pour s’inspirer d’un modèle africain de délocalisation des activités.
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Analyse : Villes sans bidonvilles, ce gouffre financier !
Jihane GATTIOUI, Les Eco.ma, le 20/01/2020
"Plus de 15 ans après son lancement, le programme « Villes sans bidonvilles », ou sous son acronyme usuel « VSB », accuse un retard abyssal. Lancé en 2004, ce programme d’envergure devait s’achever en 2010 avant que cet échéancier ne soit revu à plusieurs reprises. En dépit des efforts consentis sur le terrain, le problème demeure entier."
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Début de réflexion sur la construction d’une nouvelle ville pour désengorger Kinshasa
Actualité .cd, le 20/01/2020
"Le gouvernement pense à la construction d’une nouvelle ville pour désengorger Kinshasa et ses 15 millions d’habitants. Ainsi, les dirigeants congolais voudraient s’inspirer de modèles africains."
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L’avenir inquiétant de l’étalement urbain
Mathieu Perreault, La Presse.ca, le 17/01/2020
"« On déplace rarement des routes une fois qu’elles sont construites », explique l’auteur principal de l’étude publiée cette semaine dans la revue PNAS, Christopher Barrington-Leigh de l’Université McGill. « Il est donc important que les routes soient bien connectées entre elles, pour que le transport en commun y soit possible et rentable. »"
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Villes méditerranéennes / Entre fabrique d’espace public et émergence de l’individu métropolitain, la transformation du quai de Rabat (Maroc)
Abdellah Moussalih, Luc Gwiazdzinski et Aziz Iraki, Urbanités, le 14/01/2020
"La question des espaces publics dans le pourtour méditerranéen était d’actualité durant les années 1990, notamment au Maroc dans la mesure où « ce que l’on en sait aujourd’hui reste marqué par les recherches sur la ville arabo-musulmane traditionnelle et sur les spécificités des modèles socio-culturels qu’y révèlent l’appropriation de l’espace » (Navez-Bouchanine, 1992, p. 184). Puis comme le note Rachik (2012), elle va connaître un fléchissement, voire un désintérêt de la part de la communauté scientifique en faveur d’autres sujets à la mode, tels que l’habitat, la politique urbaine, le foncier ou encore les transports."
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Villes méditerranéennes / Entretien : Espaces publics, espaces ouverts ? Pratiques festives, régulations et normativité dans un Beyrouth post-conflit
Marie Bonte, par Marine Duc, Urbanités, le 14/01/2020
"Note de l’auteure : Depuis le 17 octobre dernier, le mouvement de contestation, d’ampleur nationale et en partie affranchi des logiques communautaires du pays, revendique de profonds changements politiques et économiques. Les rassemblements massifs ont entraîné le blocage récurrent des principaux axes de circulation, et un investissement quotidien des espaces ouverts : dans les rues et sur les places, débats, cours ouverts, séances de yoga, de jardinage, et sessions de nettoyage se succèdent. La cartographie de la réappropriation du centre-ville montre comment la mobilisation a redéfini, même de manière temporaire, les usages de l’espace. De même, l’occupation des espaces publics centraux qui a lieu possède son versant nocturne et festif : des concerts et des soirées s’improvisent, alors que plusieurs bars et clubs ferment temporairement leurs portes et enjoignent leur clientèle à venir gonfler les rangs des manifestants. À Beyrouth, une « rave party révolutionnaire » a été organisée dans l’ancien cinéma désaffecté du centre-ville (surnommé « l’œuf »)."
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Urbanisme de 1958 à ce jour : le ministre Kourouma fait l’état des lieux, décline les réformes engagées et fixe de nouveaux caps
Sekou Sanoh, Guinée News, le 13/01/2020
"Lors de son passage ce lundi 13 janvier devant la presse, le ministre de la Ville et de l’Aménagement du Territoire a tenu à rappeler à sa mission qui consiste à accélérer l’aménagement spatial et urbain, améliorer l’habitat précaire, promouvoir l’habitat neuf, clarifier et sécuriser le foncier."
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Développement urbain : cet atout que l’Afrique doit exploiter
Jean-Claude Félix-Tchicaya et Hippolyte -Eric Djounguep, Le Point Afrique, le 11/01/2020
"Malgré ses nuisances, l’urbanisation de l’Afrique (+ 4 % par an) est porteuse d’un fort potentiel de développement et de croissance."
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