« Je veux mener des projets avec et pour les usagers » : ces jeunes qui imaginent nos villes
Cécile Peltier, Le Monde, le 03/12/2020
« Ils ont moins de 30 ans et sont architectes, urbanistes ou ingénieurs. Ils oeuvrent, à leur façon, à redessiner nos espaces urbains. »
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Redonner goût à la rue pour favoriser l’autonomie des jeunes citadins
Nadja Monnet, Métropolitiques, 2/12/2020
Plutôt que de se focaliser sur l’aménagement des espaces, mieux vaudrait selon l’anthropologue Nadja Monnet agir sur le regard des parents pour (re)donner davantage d’autonomie aux enfants dans la ville.
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Marketing territorial : quand les petites villes font les yeux doux aux urbains
Lumières de la ville, Demain la ville, 1/12/2020
Cet été, les couloirs des métros parisiens se sont retrouvés placardés de campagnes publicitaires aux slogans aguicheurs vantant les qualités de vie de plusieurs petites et moyennes villes françaises. Après un premier confinement éprouvant pour les urbains, ces villes à “taille humaine” ont changé leur fusil d’épaule et n’ont pas hésité à investir le champ du marketing territorial pour attirer de nouveaux habitants. Décryptage.
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La revanche des villes moyennes aura-t-elle (vraiment) lieu ?
Emilie Denètre, Le Courrier des maires, 1/12/2020
La Fabrique de la Cité organisait, fin novembre, deux journées d’étude consacrées aux villes moyennes. Dans un climat morose ne les épargnant pas sur le plan des destructions d’emplois, ces dernières semblent pourtant tirer leur épingle du jeu, aux yeux des Français du moins qui saluent leur dynamisme ! Pour les élus concernés, le défi consiste désormais à concrétiser les belles intentions affichées par les habitants des grandes villes et les attirer effectivement en cœur de ville, en améliorant le numérique, les services, l’urbanisme et les mobilités.
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L’inversion des saturations ou la possibilité d’une autre ville
Par Luc Gwiazdzinski, Manola Antonioli,Guillaume Drevon, Vincent Kaufmann et Luca Pattaroni , Libération, 29/11/2020
Le terme de « saturation », qui servait à qualifier l’espace public, investit désormais la sphère privée et intime. Ce renversement permet de reconsidérer l’espace urbain pour tenir compte de la cohabitation des rythmes individuels et collectifs.
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